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Théophile Gautier 1811 - 1872
14 - Poésies nouvelles et inédites

Les Écrits romantiques

Vers la fin de l’année 1830, Gautier commença à participer aux rencontres du «!petit cénacle!», groupe d’artistes et d’écrivains qui se réunissait dans l’atelier du sculpteur Jehan Duseigneur. Là, il se lia d’amitié avec Nerval, Pétrus Borel, Alphonse Brot, Philotée O’Neddy et Joseph Bouchardy. Il menait à cette époque une joyeuse vie de bohème. C’est le 4 mai 1831 que le Cabinet de lecture publia la Cafetière, son premier conte fantastique.

Dès lors, son talent dans cette veine très en vogue ne devait cesser de s’affirmer avec des textes comme Arria Marcella (1852), le Roman de la momie (1858) ou Spirite (1866). Parallèlement à ses poèmes, Gautier publia de nombreux textes de prose, comme les Jeunes-France, romans goguenards (1883) - recueil de nouvelles souvent parodiques - ou le roman Mademoiselle de Maupin (1835), qu’il fit précéder d’une préface provocante et scandaleuse, où il affirmait ses principes esthétiques.


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Poésies nouvelles et inédites
Théophile Gautier


À des amis qui partaient
J’ai tout donné pour rien
Perplexité
À propos du Chant du Cygne
La Tulipe
La Péri
Ambition
Sur un album
À la princesse Bathilde
« Oui, Forster, j’admirais »
Prière
À une jeune Italienne
À trois Paysagistes. Salon de 1839
Fatuité
Les Matelots
La Fuite
Ghazel
« Dans un baiser, l’onde »
Sultan Mahmoud
Le Puits mystérieux
L'Esclave
Les Taches jaunes
L’Ondine et le Pêcheur
Le Lion de l’Atlas
Le Bédouin et la Mer
Le Glas intérieur
La Neige. Fantaisie d’hiver
Sonnet. « Parfois, une Vénus »
Modes et Chiffons
Les Lions de l’Arsenal, à Venise
Les Joyeusetés du Trépas
Chanson à boire
Les Rôdeurs de nuit
Le Profil perdu
Le Banc de pierre. À Ernest Hébert
À Marguerite (sonnet I)
À Marguerite (sonnet II)
L’Impassible
À L. Sextius
À Claudius Popelin (sonnet I)
À Ingres
Le Rose
L’Hirondelle
L’Odalisque à Paris
À Charles Garnier
La Fumée
Promenade hors des Murs
L’Esclave noir
À Claudius Popelin (sonnet II)
Sonnet. « Vous étiez sous un arbre »
Le Sonnet. À Maître Claudius Popelin, émailleur et poète
Sonnet. « J’aimais autrefois »
Le Vingt-sept Mai
Sonnet. « Un ange chez moi »
Après la Bataille
À Maxime du Camp
Allitérations
À une jeune Amie
Sonnet. « Mon œil, sur le cadran »
Jettatura
Au Bois de Boulogne
Le Ruisseau