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Il est assurément, de tous les poètes du XIXe siècle, celui qui a le plus joué avec toutes les richesses de la poésie française, et le reproche qu’on lui a fait d’avoir manqué de sensibilité et d’imagination devrait s’effacer si l’on considère la perfection et le charme de ses vers, le bonheur et les trouvailles de ses évocations, l’influence enfin tout à fait salutaire qu’il a eu sur les poètes en les dégageant radicalement de la sensiblerie mièvre qui survivait au véritable romantisme.

Théodore de Banville
1823 - 1891
14 - Roses de Noël (1878)

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Parfois notre grand-mère, - La veuve aux chers soucis, - Qui fut si belle et qui mourut si jeune, - Se montrait sur le seuil, - Le front pâli comme par un long jeûne, - Triste et douce, en grand deuil.
Théodore de Banville


AVANT-PROPOS & Dédicace

Le Ruisseau
Oubli
Les Colombes
Querelle
Les Baisers
Primeur
Lys sans tache
Fleurs d'hiver
Douces Larmes
Ta Voix
Silence
Ton Sourire
Aurore
Exil
Les Oiseaux
Feuilles mortes
Toute mon âme
Pour nous deux
Ils nous voient
Zélie enfant
Leurs Lèvres
Les Absents
Comme un jour
Vers le ciel
Pourquoi seuls?
Extase
Les Jardins
Nous voilà tous
Nos proies
A celle qui me voit

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