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Encouragé par Victor Hugo et par Théophile Gautier, il se consacre à la poésie, fréquente les milieux littéraires les plus anticonformistes et se lie d’une solide amitié avec Baudelaire, avec lequel il partage le mépris d’une certaine poésie officielle et commerciale, adversaire résolu qu'il est de la nouvelle poésie réaliste et ennemi de la dérive larmoyante du romantisme. Ses Odelettes et ses Odes funambulesques (1857) lui apportent la consécration et marquent une évolution vers plus de souplesse et de charme.

Théodore de Banville
1823 - 1891
8 - Idylles prussiennes (1871)
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Et toi, mon maître, ô fier Ronsard, - Enthousiaste du doux art, - Amant d'Hélène, - Qui jadis nous émerveillais - Sur les roses et les oeillets - De son haleine!
Théodore de Banville


A Ildefonse Rousset

Le Cavalier
La Marseillaise
La Besace
Les Allemands
Les deux Soleils
Les Villes Saintes
Bonne Fille
La Populace
Les Femmes violées
La Soirée
La bonne Nourrice
Un Prussien mort
Cauchemar
Le Héros
La Lune
Le Charmeur
La République
Châteaudun
Le Turco
Réplique
L'Histoire
Le Rêve
Le Jour des Morts
Les Fontaines
Le Moîneau
A la Patrie
Le Bavarois
Rouge et Bleu
Le Cuisinier
Attila
Orléans
Le Mourant
L'Ane
Chien perdu
La Contagion
Les Rats
Versailles
Aux Compagnies de guerre du 18e bataillon
Scapin tout seul
A Meaux, en Brie
Espérance
Monstre vert
Les Chefs
Sabbat
La Flèche
La Résistance, statue de Falguière
Les Pères
La fausse Dépêche
Travail stérile
Les Enfants morts
Alsace
L'Empereur
Marguerite Schneider
Les Larmes
Un vieux Monarque
Le fourrier Graf
Celle qui reste
Paris
Le Docteur
La Fillette
Henri Regnault
Vingt-neuf Janvier
L'Épée
Le Lion
Épilogue

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