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En novembre 1871, Théodore de Banville logea chez lui Arthur Rimbaud, mais dès le mois de mai, ce dernier dans ses lettres dites « du voyant » exprime sa différence, et en août 1871, dans son poème parodique, « Ce qu'on dit au poète à propos de fleurs », exprime une critique ouverte de la poétique de Banville.

En 1872, avec son Petit Traité de poésie française, Banville rompt avec le courant symboliste. Il publie presque une œuvre par an tout au long des années 1880, et meurt à Paris le 13 mars 1891, peu après la publication de son seul roman, Marcelle Rabe.

Théodore de Banville
1823 - 1891
12 - Occidentales (1875)
{Nouvelles odes funambulesques, 1869}
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A l'heure où les étoiles - Frissonnant sous leurs voiles - Brodent le ciel changeant - De fleurs d'argent.
A la Font-Georges
Théodore de Banville


A Pierre Véron


La Satyresse, Frontispice, A Léopold Flameng
La Pauvreté de Rothschild
Courbet, seconde manière
Molière chez Sardou
Ballade du premier jour de l'an, pour les étrennes de tout le monde
Soyons carrés
A la Biche empaillée qui figurait à la Porte-Saint-Martin dans « La Biche au Bois »
A vol d'oiseau
Le Thiers-Parti
Pièces féeries
Chez Monseigneur
Inventaire
Le Siècle à aiguille
Tristesse de Darimon
L'Oeil crevé
Démolitions
La Criminelle
Masques et Dominos
Le Petit-Crevé
Le Lion amoureux
Satan en colère
Pénélope et Phryné, à Charles Marchal
Leroy s'amuse
Et Tartuffe?
La Balle explosible
Embellissements
Le Budget
Triolets. La Lanterne
Triolets. Marbre rose
Triolets. Monsieur Lecoq
Triolets. Le Vélocipède
Triolets. Autres Chassepots
Triolets. Les Grandes Dames
Triolets. Paris gratté
Triolets. Épilogue
La Mitrailleuse
Périphrases
Trop de cigarettes
Chez Guignol
Un Chant National, s'il vous plaît
Madame Polichinelle
Delirium tremens
Donec gratus
Ancien Pierrot
Chez Bignon, églogue

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