Vicente Escrivá, un des grands admirateurs de Goya (il a par le passé dit: "sans lui l'art moderne est inconcevable"), a consacré les huit dernières années à la composition de LA MAJA DE GOYA ; c'est un beau jeu au sujet de la vie du peintre, et qui très probablement voyagera aux villes internationales comme Toronto, Londres, Sidney, et Broadway le plus susceptible.

Le fait que les affaires du peintre avec la duchesse d'alba sont un fait populaire, mais là n'est pas un document historique qui établit de telles histoires, a mené à Escrivá pour tracer la vie du peintre, en employant l'information effective, pour créer un arrangement imaginaire par laquelle imprègne les torments et les douleurs apportés dessus par l'affaire avec la duchesse, qui sont finalement reflétées dans ses peintures. Dans ce jeu, la vie passionnée crue de tous les deux protagonistes sont senties dans les stanzas: "personne ne peuvent arrêter notre amour, personne, Dieu non égal lui-même peuvent l'arrêter". De façon générale, pour Goya, cette affaire n'est pas une réalité mondaine; certains des arrangements reflètent les épisodes identifiables typiques de sa vie qui sont plus tard r3fléchissants d'aujourd'hui.