Alphonse-Marie-Louis de Prat de Lamartine
Ici, gronde
le fleuve aux vagues écumantes; - Il serpente, et s'enfonce en
un lointain obscur; - Là, le lac immobile étend ses eaux
dormantes - Où l'étoile du soir se lève dans l'azur. [ Méditations poétiques (1820) ] Alphonse de Lamartine |
39 - La
branche d'amandier Qu'on la néglige
ou qu'on la cueille, Savourons ces
courtes délices; Souvent la beauté
fugitive Un jour tombe,
un autre se lève; Et, puisqu'il
faut qu'elles périssent, |