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Dans le même temps, il gagne en simplicité dans Les Exilés (1867) ou Les Occidentales (1869). Mais il se détourne peu à peu de la poésie à la suite d’un violent désaccord avec le symbolisme. Il ressuscite de vieilles formes héritées du Moyen Âge, il rédige ses souvenirs dans l'Âme de Paris, puis dans Mes souvenirs (1882) et écrit des contes rassemblés dans Madame Robert (1887).

Gringoire. Il publie Les Exilés en 1867, recueil qu'il dédie à sa femme et qu'il considéra comme le meilleur de son œuvre.

Théodore de Banville
1823 - 1891
7 - Les Exilés (1867)
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A l'heure où les étoiles - Frissonnant sous leurs voiles - Brodent le ciel changeant - De fleurs d'argent. (A la Font-Georges )
Théodore de Banville


Préface

L'Exil des Dieux
Les Loups
Le Sanglier
Hésiode
L'Antre
La Rose
Némée
Tueur de Monstres
La Mort de l'Amour
Roland
Penthésilée
La Reine Omphale
L'Ile
Dioné
La Cithare
Une Femme de Rubens
L'Éducation de l'Amour
Érinna
La Source, A Ingres
Les Torts du Cygne
Le Pantin de la petite Jeanne
A ma Mère
Au Laurier de la Turbie
Chio
A Georges Rochegrosse
Le Berger
La Fleur de Sang
Hermaphrodite
Le cher Fantôme
L'Ame de Célio
La belle Aude
Rouvière
L'Aveugle
L'Attrait du Gouffre
Les Forgerons
A Auguste Brizeux
Celle qui chantait
Amédine Luther, A madame Anna Luther
L'Enamourée
Les Jardins
A Théophile Gautier
Baudelaire
La bonne Lorraine
A George Sand
La Chimère
A Élisabeth
A la Muse
Le Festin des Dieux

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