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Disciple de Victor Hugo et de Théophile Gautier, il eut un grand succès durant sa vie, le public étant séduit par sa vituosité et la précision de la forme de ses poèmes. Il est le fondateur et le théoricien de l'école du Parnasse.

Il est assurément, de tous les poètes du XIXe siècle, celui qui a le plus joué avec toutes les richesses de la poésie française, et le reproche qu’on lui a fait d’avoir manqué de sensibilité et d’imagination devrait s’effacer si l’on considère la perfection et le charme de ses vers, le bonheur et les trouvailles de ses évocations, l’influence enfin tout à fait salutaire qu’il a eu sur les poètes en les dégageant radicalement de la sensiblerie mièvre qui survivait au véritable romantisme.

Théodore de Banville
1823 - 1891
5 - Le Sang de la coupe (1857)
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Et toi, mon maître, ô fier Ronsard, - Enthousiaste du doux art, - Amant d'Hélène, - Qui jadis nous émerveillais - Sur les roses et les oeillets - De son haleine!
Théodore de Banville



Préface


L'Invincible
Malédiction de Cypris
Les Souffrances de l'Artiste
Louanges d'Aurélie
La Toison d'or
Amazone nue
La Thessalie, à Auguste Préault
La Lyre
Les Affres de l'Amour
La Nuit
La Prophétie de Calchas
Artémis partant pour la chasse
Tristesse au jardin
La Colombe blessée
Le Palais de la Mode
Homme, tu peux faucher, par un sombre désastre...
Vous en qui je salue une nouvelle aurore...
Le Triomphe du Génie
Le Livre d'Heures de la Châtelaine
A la Font-Georges
A mesdemoiselles Aménaïde, Lyzie et Eugénie de Friberg
A la Forêt de Fontainebleau
Les Roses
Le Vin de l'Amour
La Muse héroïque
La Gloire de Molière
La Muse des vingt ans
La Charité
A Henri Heine
La Centième de Notre-Dame de Paris
Le Jugement de Pâris
Les Voyageurs
Fille de la clarté, Muse aux regards vermeils..
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