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Ce poète adepte de la pureté formelle de l’art poétique est un 14 mars (1823, à Moulins) et mort un jour avant (13 mars 1891, à Paris) ! Il a fait ses études à Paris.
Dès son plus jeune âge, il se passionne pour le spectacle et la poésie, encouragé par Victor Hugo et Théophile Gautier. Il publie son premier recueil en vers en 1842 « Les Cariatides », suivent en 1846 « Les Stalactites ».

Théodore de Banville
1823 - 1891
17 - Dans la fournaise (1892)

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Les jours se sont enfuis, d'un vol mystérieux, - Mais toujours la jeunesse éclatante et vermeille - Fleurit dans ton sourire et brille dans tes yeux.
Théodore de Banville


L'Enfant
Rue Lobineau
Mourir, dormir
Massacre
Soleil couchant
La Bête
Objection
Redites
A Georges Rochegrosse
Parisienne
La Forêt
Musique
Salve!
Sagesse
Sous bois
Semper adora
Soeur Séraphine
Turbulent
Le Guitariste
Le Printemps
Populus
Au laurier
Nocturne
Rue de l'Éperon
Variations
Consommation
La Promenade
Triomphe
Bakkhos
Les Demoiselles des chars
Ballade de Banville à son maître
Aimer Paris
Lecture
Églé
Ballade pour mademoiselle Edmée Daudet
Anna
L'Année cruelle
La Lune
Les Belles Filles
Les Saisons
Au Pierrot de Willette
A la chanson
A Gil Blas
La Coupe
La Statue de Victor Hugo
A Victor Hugo
La Fille de Jaïre. Tableau d'Alfred Dehodencq
Épitaphe d'Alfred Dehodencq
Duel
L'Aurore et Céphale
La Comédie
A mademoiselle Edmée Daudet
Les Roses
Ballade de Banville à son cher François Coppée
A Catulle Mendès
A madame Léon Daudet
Déja vus
Pèlerines
Temps chauds
Ciels brouillés
Ténor
Théophile Gautier
La Pomme
Psyché
Retour
Flânerie
Les Grâces
A Paul Legrand
Vérité
Jeune homme
Fleur
Cythère
Bûche
Saisons
Jours gras
Nuit
Pluie

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