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IThéodore de Banville a particulièrement travaillé, dans son œuvre, les questions de forme poétique, et a joué avec toutes les richesses de la poésie française. Il lui a été reproché d’avoir manqué de sensibilité et d’imagination, mais son influence salutaire, permit à de nombreux poètes de se dégager de la sensiblerie mièvre qui survivait au véritable romantisme.

Théodore de Banville
1823 - 1891
13 - Rimes dorées (1875)
{Nouvelles odes funambulesques, 1869}

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Parfois notre grand-mère, - La veuve aux chers soucis, - Qui fut si belle et qui mourut si jeune, - Se montrait sur le seuil, - Le front pâli comme par un long jeûne, - Triste et douce, en grand deuil.
Théodore de Banville


Au Lecteur


L'Aube romantique, A Charles Asselineau
La Lyre dans les Bois
Une Fête chez Gautier
Conseils à un Ecolier
Pas de Feuilleton, A Ildefonse Rousset
Au Pays Latin
Marie Garcia
Promenade galante, A Edmond Morin
A Gérard Pioget
A Albert Glatigny
A Claudius Popelin
A Alphonse Lemerre
A Jules Claye
A Gabriel Marc
Le Musicien
L'Echafaud
La Blanchisseuse
Le Pompier
La Danseuse, A Henry Regnault
A Charles Desfossez
Le bon Critique
A la Jeunesse
Le Théâtre, A Jules Bonnassies
A Eugène Delacroix
L'Ame victorieuse du désir
L'Apothéose de Ronsard, prince des poètes français

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