menu poètes
menu Banville
sommaire


Il est assurément, de tous les poètes du XIXe siècle, celui qui a le plus joué avec toutes les richesses de la poésie française, et le reproche qu’on lui a fait d’avoir manqué de sensibilité et d’imagination devrait s’effacer si l’on considère la perfection et le charme de ses vers, le bonheur et les trouvailles de ses évocations, l’influence enfin tout à fait salutaire qu’il a eu sur les poètes en les dégageant radicalement de la sensiblerie mièvre qui survivait au véritable romantisme.

Théodore de Banville
1823 - 1891
10 - Les Princesses (1874)
Menu

Larges roses de feu, comme on en voit en rêve, - Et dont le fier carmin, d'un sourire enchanté, - Ressemble à du sang frais sur le tranchant d'un glaive.
Les Exilés
Théodore de Banville


Au Lecteur


Les Princesses
I. Sémiramis
II. Pasiphaé
III. Omphale
IV. Ariane
V. Médée
VI. Thalestris
VII. Antiope
VIII. Andromède
IX. Hélène
X. La Reine de Saba
XI. Cléopâtre
XII. Hérodiade
XIII. Messaline
XIV. Marguerite d'Écosse
XV. Marie Stuart
XVI. Marguerite de Navarre
XVII. Lucrèce Borgia
XVIII. La Princesse de Lamballe
XIX. Madame Tallien
XX. La Princesse Borghèse

Retour à la page Banville - suivant