Liberté menant le peuple Peint 28 juillet 1830, pour commémorer la révolution de juillet qui avait juste apporté Louis-Philippe au trône français ; Auvent.

Cette peinture, qui est une sorte d'affiche politique, est censée pour célébrer le jour de 28 juillet 1830, quand le peuple s'est levé et a détrôné le roi de bourbon. Les Doumas d'Alexandre nous indique que la participation de Delacroix aux mouvements rebelles de juillet était principalement à caractère sentimental. En dépit de ceci, le peintre, qui avait été un membre de la garde nationale, a pris le plaisir en se dépeignant dans la figure du côté gauche portant le dessus-chapeau. Bien que la peinture soit remplie de rhétorique, l'esprit de Delacroix est entièrement impliqué dans son exécution : dans la figure tendue de la liberté, dans les attitudes "bold" du herm suivant de personnes contrasté avec les figures sans vie des morts gros vers le haut dans le premier plan, dans les poses héroïques du peuple le combat pour la liberté, il y a sans aucun doute un sens de pleine participation de la part de l'artiste, qui a mené l'argan pour définir cette toile comme premier travail politique de la peinture moderne.

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La liberté menant le peuple a causé une perturbation. Elle montre la figure allégorique de la liberté en tant que femme moitié-drapée portant le chapeau traditionnel de Phrygian de la liberté et tenant un revolver en une main et le tricolore dans l'autre. Elle est de façon saisissante réaliste ; Delacroix, le jeune homme dans la peinture portant le chapeau d'opéra, était présent sur les barricades en juillet 1830. Les aides d'allégorie réalisent l'universalité dans la peinture : La liberté n'est pas une femme ; elle est une force abstraite.