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Théodore de Banville

1823 - 1891

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«Sans la justesse de l'expression, pas de poésie.»
Théodore de Banville, Petit Traité de poésie française.

Né à Moulins, en 1823, venu à Paris dans son enfance, Théodore de Banville se passionne très jeune pour le spectacle et pour la poésie.
Avant vingt ans, il publie son premier recueil de vers «Les Cariatides», salué par Charles Baudelaire; il y manifeste déjà un talent sûr qui relève d’une conception de la poésie dont il ne se départira jamais.

Banville fut un proche ami de Baudelaire et de Gautier, un modèle littéraire pour Mallarmé, Verlaine et Rimbaud, et l'un des deux chefs de file de l'école dite "parnassienne". Il fut admiré et imité par toute une génération de jeunes poètes de la deuxième moitié du dix-neuvième siècle.
Banville publia en tout dix-sept recueils de poésies lyriques, mais son oeuvre poétique est en réalité plus vaste encore. Il faut y compter non seulement de nombreux poèmes parus dans la presse périodique de l'époque, mais aussi plusieurs pièces de théâtre en vers. Voir la bibliographie pour les titres de ces derniers

 

La poésie lyrique de Banville:
Consulter les textes

Les Cariatides (1843)
Les Stalactites (1846)
Odelettes (1856)
Odes funambulesques (1857)
Le Sang de la coupe (1857)
Améthystes (1863)
Les Exilés (1867)
Idylles prussiennes (1871)
Trente-six ballades joyeuses (1873)
Les Princesses (1874)
Rondels (1875)
Occidentales (1875) {Nouvelles odes funambulesques, 1869}
Rimes dorées (1875) {Nouvelles odes funambulesques, 1869}
Roses de Noël (1878)
Nous tous (1884)
Sonnailles et clochettes (1888)
Dans la fournaise (1892)

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