Mes causes et ma petition

Avec des amies nous tenons des sites et communautes

pour lutter contre toutes les violences faites

aux femmes, aux enfants, personnes agees

et handicapes !! voila mes causes en plus

j'ai lance une petition, si vs pouviez la signer

et la diffuser largement par vos btes emails

merci pour eux......

votre amie

Lys des neiges

Toutes personnes qui la diffusera sur son site sont priées de m'écrire à

planete46@hotmail.com !! leurs sites figurera sur la pétition

 

Un lien vers cette pétition? utilisez cette adresse :
http://www.lapetition.com/sign1.cfm?numero=690


STOP A LA VIOLENCE ENVERS LES FEMMES LES ENFANTS ET LES NOUVEAUX NES

date d'inscription 4/3/2003
date de clôture 31/12/04

BULLETIN
D'INFORMATION
SUR LA PETITION cette pétition sera remise aux gouvernement faites la circuler à plus de personnes possibles !! merci à vous et à ceux qui l'ont signés vs êtes des anges !! ns ne serons jamais assez nombreux pr faire cesser tous ces actes de barbaries !! vs la retrouverez sur notre site http://groups.ms.com/stopalaviolence sur ce site vs trouverez également des cas de femmes battues, dont une recemment qui est ds le coma UNE AMIE entre la vie et la mort .. merci de venir nombreux soutenir notre cause Bien à vous Lys des neiges, Paul Bria

AUTEURS MADAME
Jacqueline Verstraete
rue du Gle Drouot, 2 cité des dominos
59200 Tourcoing

Bonjour,
Je m'occuppe avec une amie d'une communauté sur hotmail, pr lutter contre toutes les violences faites aux femmes et aux enfants, et ce pr le monde entier, ayant reçu ds ma bte, un exemple de barbarie, INNOMABLE, je lance cette pétition à titre privé, que je remettrais ensuite à des associations concernées, merci de me suivre, car je vs assure, les femmes rencontrent toutes les difficultés du monde pour se faire entendre !! Autres auteurs : Mme Verstraete Jacqueline

TITRE DE LA PETITION STOP A LA VIOLENCE ENVERS LES FEMMES LES ENFANTS ET LE NOUVEAUX NES

TEXTE
Actualité Février 2003

Afrique du sud

Les procureurs Sud-africains adoptent une attitude beaucoup plus ferme face aux viols perpétrés sur les femmes et les fillettes.

Dans la banlieue de Soweto, au milieu d'une cour, une petite fille de 11 ans est allongée sur un tapis. Elle tourne, presque indifférente, les pages de ce qui semble être un livre d'images. A cette heure de la journée, elle devrait être assise sur un des bancs de sa classe ou alors, jouer avec ses amies. Au lieu de cela, elle apprend comment témoigner contre l'homme qui l'a violée !

Les cas de viols en Afrique du Sud ont atteint des proportions alarmantes, frappant particulièrement les femmes dans des endroits accablés par la pauvreté tels qu'aux alentours de Soweto. Mais ce qui est peut-être bien plus déstabilisant, c'est le nombre croissant de viols d'enfants. Ici à Soweto, 70% des agressions sexuelles sont perpétrées contre des enfants parfois même nouveau-nés. Ainsi, il a été recensé environ 50 000 viols pour la seule année 2001. Une estimation fait état d'une femme violée toutes les 26 secondes et d'un enfant toutes les 15 minutes.

Il semblerait que la pauvreté et le nombre élevé de personnes atteintes du SIDA soient un des facteurs aggravant les abus sexuelles, surtout sur les fillettes “encore vierges” et non porteuses du virus. Mais personne, au fond, n'arrive à expliquer les causes profondes de cette recrudescence de viols en Afrique du Sud. Certains avancent l'hypothèse de la forte soumission des femmes face aux hommes. Ce comportement aurait été accentué par les longues années de ségrégations où les hommes dominés, recouvraient “leur identité” en dominant démesurément, à leur tour, leurs proches, en particulier femmes et filles.

Il apparaît donc nécessaire, voire vital, pour toutes ces femmes et ces enfants, que le système judiciaire se renforce d'un point de vue législatif et exécutif pour combattre ce fléau toujours incontrôlé à l'heure actuelle. En effet, sur les 50 000 viols reconnus, seulement 10% ont abouti à des inculpations. Afin d'accélérer le processus de rémission, le gouvernement a installé 29 nouvelles cours de justice consacrées spécialement au viol comme celle au Nord de Protea. En outre, une formation spécialisée des juges et des avocats a été prise en charge par un plan du gouvernement. Devant ces mesures, certains restent optimistes, d'autres le sont moins. Kelly Hatfield, ancienne directrice du mouvement - Peuple opposé aux abus à l'égard des femmes - affirme de son côté : « J'ai beaucoup d'espoir… Si nous avons pu réduire la ségrégation, nous pourrons diminuer la violence contre les femmes... ». En moins de temps, nous l'espérons et avec l'aide d'une communauté internationale plus impliquée.