Les visages cherchés avait trouvé en ce lieux un refuge contre la folie des hommes.

La horde saccageait pour trouver la barbe hirsute de ces visages. Ils fallaient les brûler, les barbes sont dangereuses.

Les barbes n’étaient pas que barbe, en ce lieux, il y’avait femmes, enfants qui priaient le premier dieu qui leur viendrait en aide. La horde était forte de bêtise, de penchant qu’il pouvait en ce temps, en cet état laissait s’affirmer sans honte, elle était fort d’arme et de brutalité.

Les barbes pleuraient tandis qu’ils ce faisaient traîner par la horde, en ce faisant traîner ils jetaient un regard à l’homme sacrifié. Mais le bancal de la croix montrait son impuissance dans le monde des humains, même en son lieux. Les hirsutes menaçants pleuraient devant la horde qui ce défendait d’un de leur fléau. La fleur périssant en ce mois d’automne, elle se baissait pour donner le dernier sacre aux barbes.

Les barbes furent alignées le long d’un mur aux premières heures de la fonte du givre, la mort fait pleurer ce monde ou chaque homme est de passage.

Adieu rose qui se flétrie, nous hirsute qui disparaissons de ce monde, sacrifié comme l’homme à la croix.

Le monde est si beau, sur les coteaux la nature fait son œuvre… La lumière s’éveille en ce matin, pendant que 15 humains tombent sous les fusils et qu’une croix s’écrase sous le poids des pêchés humainement possible de la horde.

Axel